Viol par des flics, en service, dans leur véhicule de fonction.

Viol par des flics, en service, dans leur véhicule de fonction.

La nuit du 3 au 4 septembre 2012 près de Carthage.Tunisie, deux amoureux qui se béquotent dans une voiture sur le bord d´une route, se font arrêter par une estafette avec trois policiers à son bord.

L´un des flics somme le conducteur de lui verser de l´argent. Voyant que le conducteur n´en a pas, il l´accompagne jusqu´au bankomat voisin pour lui retirer de l´argent. Pendant ce temps, les deux autres flics emmènent la jeune femme dans leur fourgon et collectivement, la violent.

 Mejri Jabeur, 7 1/2 ans de prison pour des extraits de caricatures !

 Amina. Femen, 6 mois de prison ferme.

 Tunisie, héritage des Islamistes !

 Manifestation contre le verdict du viol par deux policiers.

Olfa Riahi, journaliste harassée pour avoir découvert les malversations du ministre des A.E.

les malversations du ministre des A.E., Rafik Ben Abdesslam Bouchlaka: détournement de UN MILLION de dollars !

Viol par des flics, en service, dans leur véhicule

de fonction.

La nuit du 3 au 4 septembre 2012 près de Carthage.Tunisie, deux amoureux qui se béquotent dans une voiture sur le bord d´une route, se font arrêter par une estafette avec trois policiers à son bord.

L´un des flics somme le conducteur de lui verser de l´argent. Voyant que le conducteur n´en a pas, il l´accompagne jusqu´au bankomat voisin pour lui retirer de l´argent. Pendant ce temps, les deux autres flics emmènent la jeune femme dans leur fourgon et collectivement, la violent.

Dans cette Tunisie qui a vu naitre bien plus d´un siècle déjà, Tahar Haddad, Theaalbi et surtout Habib Bourguiba, une jeune femme accompagnée, pas seule, se fait violer collectivement par deux policiers, pendant que son ami se fait racquetter par leur troisième collègue.

Et pendant deux jours, le gouvernement des Islamistes au pouvoir , tente d´étouffer l´affaire par des aternoiements, puis des menaces, enfin, une inculpation de la femme violée pour raccolage sur la voie publique et atteinte aux bonnes moeurs !

De bonnes moeurs, ces pourris de flics n´ont en aucune !

Inculpée de raccolage sur la voie publique et d´atteinte aux bonnes moeurs la jeune femme passe devant le juge, alors que les flics continuent à travailler sous la tutelle du ministre de l´intérieur Islamiste Ali Laâryed !

D´après le juge, le crime incombe à la femme violée !

Toute la Tunisie est scandalisée, après un paquet de menaces, la jeune femme émigre en France.

Un acte des plus criminel est commis sur une jeune personne par ceux qui sont censés et sont payés pour la protéger !

Ce n´est que quand le monde à l´échelle planétaire s´est indigné que le vendu de juge a daigné changer le procès et inculper les flics !

Mais le gouvernement Islamiste tempère, et le dossier repose au frigo, sous la bonne conscience des juges.

Il a fallu attendre deux ans , l´intervention  des médias étrangers et celle d´avocats de Paris, pour que le procès ait lieu et verdict soit rendu.

Il est regrettable que le procès ait été traité à huis clos à la demande de la défense, et en vertu d'une loi qui protège les forces de l'ordre : "L'implication de policiers qui ont abusé de leur autorité, violé une femme dans leur véhicule de service, lors de leurs heures de travail, tout cela pose des questions qui doivent être débattues en public. Les victimes n'ont pas à se cacher , comme les us de cette société le conseille.

Un verdict des plus cléments : sept ans de prison pour les violeurs, alors que la peine de mort est encourue dans unt el crime en Tunisie.

Par contre, publiez sur votre page Facebook des caricatures du prophète, déjà parues au Danemark et ailleurs il y a sept ans , et vous êtes inculpé et jugé dans la semaine à SEPT ans et DEMI ! C´est le cas de Jabeur Mejri !

Inculpé pour ” atteinte au sacré” !

Dans un pays qui sort d´une révolution, un pays qui se dit démocrate, un pays qui se dit adepte de la ”LIBERTÉ de conscience ” ! 

Et quand enfin , il a été gracié après 2 ans et demi de bagne, ce même gouvernement Islamiste de mécréants, colle sur le dos du pauvre Jabeur Mejri une affaire de vol qui le garde en prison.

C´est comme cela qu´on se comporte quand on est Islamiste !

On n´exude que de la mauvaise foi !

Et ces juges Tunisiens qui travaillent plus pour leur portefeuille que suivant leur conscience, conscience qu´ils laissent chez eux s´ils en ont une !

Une autre affaire rappelle celle-ci !

Celle du Sheratongate !

En 2012, une journaliste Olfa Riahi, découvre, avec preuves à l´appui que Rafik Bouchlaka le ministre des affaires étrangères Islamiste, gendre de leur gourou Ghanouchi, fait loger sa maîtresse au Sheraton au frais du contribuable, et qu´il a détourné UN MILLION de DOLLARS !

Dans n´importe quel pays, on aurait demandé la démission du ministre jusqu´à preuve de son innocence !

En Tunisie, le juge saisi de l´affaire ne convoque pas le ministre, mais Olfa Riahi, qui est menacée, assignée à ne pas quitter la Tunisie, etc etc…

Deux ans après, les faits sont AVÉRÉS, mais Rafik Bouchlaka est libre et vit comme un prince !

Et ce juge qui a condamné Amina Sboui, la FEMEN Tunisenne à 6 mois de prison ferme  !

Et ce juge qui a condamné Les trois FEMEN Européenne qui sont venues demandé la liberation d´Amina à 4 mois de prison ferme !

Et ce juge qui a condamné les journalistes lors de la projection de Persepolis !

Et ce juge qui a condamné  à de légères peines avec sursis les incendiaires de l´Ambassade Américaine !

Et ce juge qui a condamné  à de légères peines avec sursis le salafiste qui a hissé le drapeau salafiste sur un edifice public, en lieu et place du drapeau Tunisien !

Et ce juge qui a condamné  à de légères peines avec sursis les salafistes qui ont sequestré des directeurs d´entreprises, le doyen de la faculté de lettres etc…

Et ce juge qui a harcelé le doyen de la faculté des lettres !

Etc, Etc……

La justice en Tunisie est à deux vitesses : celle contre les faibles, et celle contre les forts !

Et pourtant, la justice est INDÉPENDANTE ! Mais un bon nombre de juges sont cupides !

Comment faire confiance, ou, pour un étranger, être en confiance dans un pays où les flics sont violeurs et raquetteurs, et les juges corrompus !

Ce sont les ingrédients réunis d´une république bananière !

Il est vrai que les 80.000 policiers de l´époque BenAli étaient presque tous rôdés dans les entourloupes de tous genres. Et sur le nombre assaini, il doit bien rester quelques milliers d ´agents corrompus, des agents harceleurs, des agents violeurs, des agents collaborant avec des voleurs, des agents violeurs, des agents voleurs qu´on appelait ”Khemaïs” ou ”Achour” parce qu´ils vous demandaient, les premiers 5 dinars, les seconds 10 dinars.

Dans l´affaire du viol collectif de Meriam Ben Mahmoud par deux policiers, en 2012, 

quand le juge a bien voulu prendre l´affaire en tant que viol, la  femme violée

Meriem à été accusée d'avoir permis ce crime, en ne répondant pas à cette contrainte par la violence »!

Répondre par la violence ! Belle rigolade: une femme contre deux agents de l´ordre, armés de bâton et de pistolet ! Il l´aurait fait lui, le juge, s´il était à sa place ?

C´est pour cela que les violeurs, agents de ”l´ordre public” n´ont écopé que de 7 ans de prison.

le jugement ait été qualifié par les avocats de la victime comme non conforme à l’article 227, condamnant à la peine de mort celui qui viole en usant de violence ou de menace. 

Qualifié de clément par certains, le verdict est jugé trop sévère par l’avocat des accusés Fathi Laâyouni.

Celui-ci demande de faire appel car, selon lui, les juges n’étaient pas neutres. Maître Laâyouni a, pendant l’audience d’hier, basé son réquisitoire sur des avances que la coupable aurait faites et sur son activité sexuelle qu’il a qualifiée «d’intense ». Hormis le fait de mettre ainsi en doute un rapport médical attestant visiblement du contraire, Me Laâyouni a, dans de tels propos, minimisé un acte criminel des plus odieux.

Sur la base d’un tel argumentaire, il tend à le banaliser et à rendre quelque peu coupable celle qui l’a subi.

C´est Me Laâyouni qui devrait être traduit en justice pour diffamation !
En tout cas, Meriem Ben Mahmoud se pourvoit en appel de ce jugement.

On pense tout de même qu´elle est un peu réconfortée, car de statut de ”putain raccoleuse”, elle passe à celui de ”victime complaisante”.
En espérant qu´elle ne se sente plus coupable, comme elle se décrit dans son livre :
« Coupable d’avoir été violée », dans lequel elle conte son histoire.

Coupable elle ne l´est plus juridiquement.

En Tunisie, coupable, elle le restera cependant aux yeux d’une société qui incombe souvent aux femmes le fléau qui les a assailli et dont 90% ne l´avouront jamais !

Heureusement que Mariem Ben Mahmoud s’est installée, depuis son drame en France « Un endroit où je ne serai que victime », comme elle l´écrit dans son livre…

Quoique les lois les protégeant existent, et surtout après la dernière constitution, beaucoup de femmes victimes de viol refusent de porter plainte.

Elles pensent qu'elles le payeraient très cher dans leur famille, auprès de leurs amies.

”La honte doit changer de camp."

Une révolution des mentalités  doit aussi toucher les institutions : hôpitaux, police, et la justice, surtout.

Il y a encore trop d'acquittements, trop de poids qui pèse sur les victimes. Comme cette femme de 40 ans, violée par deux hommes entrés par effraction dans son logement d'une pièce où elle vivait seule.

Le juge a rejeté sa plainte en lui disant : "Si tu n'es pas une prostituée, que faisais-tu seule dans cette chambre ?"

”La honte doit changer de camp."

Nafredy